Les haies sont généralement de type sauvage et constituées de plusieurs variétés d’arbres, d’arbustes et de plantes grimpantes que l’on rencontre à l’état naturel en France. Très répandues par le passé, elles ont été par la suite, progressivement abandonnées au profit des haies de thuyas et de laurier à la pousse rapide et qui n’encombrent pas trop. Pour avoir des haies de qualité, certaines essences sont recommandées. Elles sont à découvrir ici.

Quelles essences privilégier pour une haie vive ?

Le choix des essences pour un projet d’implantation d’une haie vive est guidé par une échelle d’utilités subjectivement établie. Cependant, les deux se rejoignent pour l’avantage qu’ils trouvent dans la variété. Dans un seul projet d’implantation, l’on peut faire participer plusieurs essences parmi des dizaines, disponibles en France : l’aubépine, la bourdaine et le cerisier de sainte – Lucie sont quelques essences que l’on peut privilégier pour une haie vive. On peut devenir experts en artéfact avec toutes les combinaisons qui s’offrent à soi, avec des caractéristiques d’espèces aussi singulières que complémentaires pour une champêtre à la hauteur des attentes en matière de décoration, de confort.

Quelques précautions

Pour autant qu’un attelage bien assorti soit possible entre rêve et réalisme, parler de précautions à prendre pour l’implantation d’une haie ne serait que faire preuve de professionnalisme ou à défaut, de prudence. Ainsi, une toute première consiste à prendre en compte les contraintes relatives à son terrain. Par exemple, un terrain de taille modeste devrait vous motiver pour le choix des espèces d’arbustes non grimpantes afin d’optimiser la diversité. Aussi doit-il y avoir une correspondance d’adaptabilité entre l’espèce et le type de terrain ou la nature du sol.

Les autres précautions sont plutôt liées aux objectifs que l’on se fixe. Il existe en effet une variation de vitesse de croissance d’une essence à l’autre, ainsi que de potentialité en production de fruits ou autres spécificités recherchées. Il s'agit de la compatibilité avec des espèces exotiques à l'image du groseillier ou du lilas.